Les agités frénétiques de la cause animale avaient racheté le zoo de Pont-Scorff pour créer un modèle de réensauvagement des animaux dénommé « Rewild ». Marc Simoncini, milliardaire promoteur du référendum pour les animaux, et Hugo Clément assuraient la promotion du projet. Tout devait donc bien se passer puisque chacun connaît les compétences en médecine vétérinaire de ces deux pieds-nickelés de la cause animale…
Résultat : 2,4 tonnes d’animaux morts en 5 mois, des dysfonctionnements majeurs (pas de certificat de capacité, refus de suivre des formations au tir, pharmacie obsolète, clôture du zoo endommagée, sécurité du public non assurée, réservoirs d’assainissement débordants et non entretenus, etc.). De plus, les animateurs de l’opération refusent de se plier aux règles qui s’imposent à tous (zoos, refuges, cirques…), comme s’ils avaient tous les droits, puisqu’ils détiennent, selon eux, « la » vérité.
La mise en demeure adressée à Rewild par le préfet pour le 30 septembre se double, désormais, d’une interdiction immédiate de recevoir du public.

Dans cette histoire, les animaux jouent désormais, semble-t-il, un rôle secondaire. C’est pourquoi l’Association de défense des cirques de famille se propose de reprendre (sous conditions) les animaux de ce faux refuge et de les répartir dans des cirques ayant toutes les autorisations et installations requises, où ils seront correctement entretenus, nourris, abreuvés et soignés par des vétérinaires dignes de ce nom.
Cette annonce est officielle.
Lire aussi : « Rewild - le projet phare de la cause animale se transforme en hécatombe… pour les animaux »
Signé : l’Association de défense des cirques de famille.
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