L’Association de défense des cirques de famille ne désarme pas. Dans une lettre recommandée avec AR adressée le 6 septembre 2020 au maire de Ballancourt-sur-Essonne, elle met en demeure ce dernier d’abroger son arrêté d’interdiction d’ici deux mois, sous peine de poursuites judiciaires.
L’Association de défense des cirques de famille a gagné la totalité des recours qu’elle a engagés jusque-là contre ce type d’arrêtés. Elle continue donc son action de défense des cirques, entreprise il y a 5 ans, dans l’intérêt des artistes et des professionnels du cirque, mais aussi dans l’intérêt des 13 millions de spectateurs qui fréquentent régulièrement les cirques français. Pour que le spectacle continue !
je ne comprand pas on dit c’est le prefet qui peu interdire alors le prefet fait pas sont travail
J’aimeJ’aime
Il peut mais rien ne l’y oblige. Et s’il ne fait rien, on doit faire un recours par nous-mêmes.
J’aimeJ’aime