A l’issue du groupe de travail sur le bien-être animal organisé sous l’égide du ministère de la Transition écologique, à l’initiative de la Commission nationale des professions foraines et circassiennes, on attend certaines mesures destinées à améliorer la bientraitance des animaux non-domestiques dans les cirques.
Les professionnels y sont favorables, dès lors que ces mesures sont accompagnées, et qu’elles mettent un terme à l’hystérie collective qui s’est emparée du microscopique monde de la soi-disant cause animale.
C’est ainsi que, depuis quelques jours, les excité(e)s de « PAZ » Paris Animaux Zoopolis trépignent d’impatience et de colère. Ils/Elles « exigent » une loi, et plus vite que ça. Les 103 membres actifs du groupuscule ont décidé de mettre fin à « l’asservissement des animaux dans les cirques » et le gouvernement tout entier doit se plier immédiatement à leur gros caprice : « Exigeons une loi », disent-ils/elles.
Vite vite vite, on n’en peut plus d’attendre !
Mais ces agité(e)s frénétiques n’obtiendront pas d’interdiction générale et absolue. Doit-on en conclure qu’il va falloir continuer à subir leur harcèlement 24h/24 pendant des années ?
Est-ce une minorité de 103 militants hystériques qui gouverne, ou bien les 13 millions de spectateurs du cirque traditionnel ?
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