On pourrait croire que l’on s’habitue, mais la vérité oblige à dire qu’on ne s’habitue pas. La haine que nous vouent les 20.000 agités frénétiques de la cause animale est difficile à imaginer : injures publiques, menaces de mort, tentatives d’incendie, dénonciations calomnieuses à la « kommandantur », diffamation, doxing, cyberharcèlement… tout y passe.
Les méthodes utilisées sont bien connues et relèvent de l’agit-prop théorisée il y a plusieurs dizaines d’années par une certaine gauche. Ces méthodes ont simplement été mises au goût du jour en y intégrant les réseaux sociaux, qui permettent à 20.000 fanatiques hystérisés de faire croire qu’ils sont des millions.
En nous recevant à l’Hôtel de Roquelaure, la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, craignait que la haine de ces gens n’empire, et elle nous avait vivement conseillé de « lâcher quelque chose » pour les calmer. Le 29 septembre, elle annonçait l’interdiction de tout. À part nous suicider collectivement, nous ne savions pas quoi donner de plus que ce « tout » qui nous était demandé. Résultat : la haine ne s’est pas calmée, elle empire.
Nous attendons de l’État ce que tout citoyen peut en attendre : une protection contre ces gens et la possibilité d’exercer nos activités tranquillement pour les 13 millions de spectateurs qui assistent à nos spectacles chaque année. Nous ne pensons pas que ce soit trop demander, si ?
avec un gouvernement depassé par les evenemet rein de bon a l’horizon juste des mercantile la politique et pas l’afaire de tous
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