Les agités frénétiques de la cause animale n’ont aucune limite. Sur la page de One-Voice, ils appellent à incendier un chapiteau, c’est-à-dire à commettre un crime passible de la cour d’assises.
Nous rappelons ici que l’appel à commettre des crimes et délits est en soi un délit passible de poursuites pénales devant le Tribunal correctionnel (art. 24, loi du 29 juillet 1881). Malheureusement, jamais jusqu’ici, la Justice n’a donné suite aux dizaines de plaintes qui ont pu être déposées par nos adhérents. La Justice est-elle partiale ? A-t-elle reçu des ordres pour ignorer nos plaintes et uniquement les nôtres ? Nous sommes fondés à le penser, jusqu’au jour où nous aurons la preuve du contraire.
Pour le moment, force est de constater que les artistes de cirque, citoyens itinérants, sont des sous-citoyens, qui ont moins de droits que les citoyens sédentaires. La ségrégation qui vise concrètement les citoyens itinérants parce qu’ils sont itinérants est bien réelle au pays dit des « droits de l’homme ».
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